Partager la publication "C’était mieux après : un roman jeunesse dans une école de surdoués"
C’était mieux après est un roman d’Agnès Desarthe. Elle l’a publié en août 2020. Le livre raconte l’histoire de Vladimir. Ce jeune garçon de 10 ans se retrouve, par erreur, dans une école réservé aux élèves surdoués.

En août 2020, Agnès Desarthe a publié C’était mieux après chez Gallimard Jeunesse. Un livre pour les jeunes lecteurs à partir de 9 ans, précise publikart.net. L’auteur y met en scène « le monde mystérieux des surdoués », poursuit le site spécialisé.
C’était mieux après raconte l’histoire de Vladimir. Âgé de 10 ans, il intègre par erreur l’EEIP, une école réservée aux élèves à haut potentiel intellectuel (HPI). Le jeune homme change souvent d’établissement en raison des nombreux déménagements de ses parents.
Pourtant, malgré cette habitude, il va, cette fois, être surpris. L’EEIP de C’était mieux après n’est pas une école comme les autres. Tous les élèves qui la fréquentent sont des génies. Plutôt loufoques d’ailleurs. Les professeurs sont, eux aussi, hors-normes. Quant aux cours, Vladimir n’a jamais vu ça !
Malgré cette ambiance particulière, voire même un peu étrange quelques fois, le jeune garçon finit par se sentir bien dans cette école. Il va notamment y apprendre « la tolérance et l’ouverture d’esprit », résume la chronique de publikart.net.
C’était mieux après est un roman illustré par Grégory Elbaz. Diplômé des Beaux-Arts d’Angoulême, cet artiste travaille pour la presse et l’édition jeunesse. Il participe également à la production de dessins animé et s’illustre dans la bande dessinée. Il a notamment collaboré à l’adaptation cinématographique du Chat du rabbin de Joann Sfar, selon ecoledesloisirs.fr.
Le livre d’Agnès Desarthe, illustré par Grégory Elbaz, est disponible au tarif de 9,90 €.
Retrouvez notre dossier sur la scolarité des élèves surdoués
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